Bienvenue !
Grâce à 6 PARCOURS philosophiques, l'internaute est invité à s'initier aux oeuvres de philosophes contemporains tels que Lévinas et Ricoeur, et à des philosophes de l'Antiquité.

Parcours
+ Parcours lévinassien
+ Parcours axiologique
+ Parcours cartésien
+ Parcours hellénique
+ Parcours ricordien
+ Parcours spinoziste
+ Glossématique

Autres perspectives
+ Archéologie
+ Economie
+ Sciences politiques
+ Sociologie
+ Poésie
+ Théologie 1
+ Théologie 2
+ Psychanalyse générale

Mises à jour du site
26/09/2007 ajout :
Sociologie - Laïcité
Sciences politiques : Sujets de la réforme(3)
18/09/2007 ajout :
Glossèmes Liberté et Vérité

Visites

 9679 visiteurs

 3 visiteurs en ligne


Livre d'or



Note n°13 par Henri_Duthu le 19/05/2007 @ 12:20
   http://www.initiationphilo.fr
Je suis dans l'impossibilité de répondre à votre première question,
n'ayant pas pris connaissance de ce document, mais je m'informerai
ultérieurement.
Quant au texte du Deutéronome, voici l'interprétation fournie par la TOB:
"Après Moïse considéré comme le premier des prophètes (cf. 34,10 note m),
Dieu enverra d'autres prophètes, porteurs de sa parole, mais susceptibles aussi
de lui désobéir. Le judaïsme postérieur, lisant ce texte en un sens plus précis,
y voyait l'annonce d'un prophète exceptionnel, parfois identifié avec le Messie.
Cette tradition se retrouve dans les interrogations du peuple au sujet de Jésus
(Jn. 1,21 ; 6,14; 7,40). Pourtant celui-ci ne s'y rattache jamais formellement bien 
que l'on puisse voir des allusions  à Dt. 18,15 en Mc. 9,7, ainsi qu'en Lc. 24,27,44
et Jn 1,45; 5,46. La prédication chrétienne primitive voit explicitement en Jésus
le prophète annoncé par le Dt. (ZAc. 3,22; 7,37)". .  
 
Merci pour l'intérêt que vous avez porté à cet article.

Note n°12 par Henri_Duthu le 05/04/2007 @ 08:36
   http://www.initiationphilo.fr
Sensible à vos encouragements, je réponds rapidement à vos questions.
Les textes du Parménide de Platon font en effet le point sur les questions qui vous intriguent.
Pourquoi n'est-il pas possible que l'Etre ne soit pas?
Pour Platon, l'Un possède l'Etre et le Non-Etre parce qu'ils sont impliqués dans la relation qui est faite de l'un et de l'autre:
- C'est à l'Etre même qu'il faut que l'Un lui-même ait part de quelque façon.
Il le faut de la façon que nous disons. Car s'il n'en était pas ainsi, ce ne serait pas vrai ce que nous disons, nous, en disant que l'Un "n'est pas"; mais si c'est vrai, il est évident que c'est "ce qui est" que nous disons là. N'est-ce pas cela?
- C'est cela, bien sûr ! - Une nécessité ! - il "est" donc à ce qu'il semble, l'Un qui n'est pas (X).
(La discussion se poursuit sur l'effet de la présence progressive de l'un et de l'autre).
On arrive à la conclusion....
- Dans ces conditions, du moment qu'à ce qui est, du "ne pas être " et à ce qui n'est pas, de l'"être", il revient leur part, à l'Un aussi dès lors qu'il n'est pas, de l'être nécessairement il lui revient sa part, en vue de son "ne pas être".
- Nécessairement !
(X) Il y a ue vérité dans la négation, et, en ce sens, un être du non-être .
C'est là ce que, contre le Parménide historique entreprendra d'établir l'Etranger du "Sophiste" (241 d).

Sur la question de l'opinion, je n'ai pas la référence sous les yeux, mais Platon montrant que l'opinion est soit vraie soit fausse, l'oppose au plaisir qui, lui, est réalité. Ainsi est mis en évidence le principe de réalité qui est à mettre en oeuvre pour distinguer le vrai du faux.
C'est dans le "Théétète" de Platon qu'est débattue la question suivante: En quoi consiste la justification qui, jointe à une opinion vraie ferait d'elle un savoir ?
Trois réponses sont apportées:
a/ ce ne peut être le discours. Socrate y déclare que "nulle part il n'y aura plus lieu à une opinion droite, qui soit isolée de la connaissance.
b/ ni un dénombrement correct des composants élémentaires.
c/ ni l'énoncé du caractère distinctif.

Quant à ma position sur l'identité du penser et de l'être, c'est une affirmation constante
de la philosophie réflexive à travers les âges qui va du "cogito" de Socrate (connais ton âme) au "cogito" kantien (le je pense doit accompagner toutes mes représentations) en passant par le plus haut de tous, le "cogito" cartésien (je pense donc je suis). qui
permet le franchissement du doute.

Excusez-moi de n'avoir pu faire plus court.

Note n°11 par zampano le 31/03/2007 @ 20:11
Bonjour.J'ai découvert votre site passionnant et vous remercie de l'avoir crée.Je suis un débutant en philosophie, autodidacte de 55ans,mais passionné par l'antiquité et les mythologies.Je souhaiterai partager des moments de discussions et etre renseigné sur certains points trés obscurs.Exemple: à partir des textes de Parménide.   Pourquoi n'est -il pas possible que l'Etre ne soit pas?     En quoi la Certitude accompagne-elle la Vérité?                  Pourquoi le non-Etre est -il hors de notre portée?           Qu'est- ce que l'opinion? En quoi diffère-t-elle de la science?Que veut dire Parménide lorsqu'il affirme que penser et etre sont la meme chose?  Admettez vous cette position?   Merci et à bientot.

Note n°4 par Initiationphilo le 14/12/2006 @ 11:11
   http://www.initiationphilo.fr
Ce livre d'or est à votre disposition pour y laisser vos commentaires et vos remarques.

^ Haut ^

Initiationphilo - site d'initiation à la philosphie - Henri Duthu
contacter le webmaster : webmaster@initiationphilo.fr

  Site créé avec GuppY v4.5.18 © 2004-2005 - Licence Libre CeCILL

Document généré en 0.11 seconde